Iguazu : merveille de la Nature

Nous avons eu un souci de matériel informatique qui nous a empêché de publier ces dernières semaines. Mais tout est rentré dans l’ordre, nous allons essayer de rattraper notre retard 🙂

 

Date de notre séjour à Iguazu: du 04 au 10 juin 2016

Informations diverses : (source : Wikipedia)

Iguaçu vient du guarani : í (eau) et kuasu (grand), littéralement « les grandes eaux ».

80% des chutes sont situées sur le territoire argentin, 20% sur le territoire brésilien.

Il ne s’agit pas à proprement parler d’une chute, mais d’un ensemble de 275 cascades formant un front de 3,0 kilomètres environ. La plus haute d’entre elles atteint les 90 m de hauteur. On l’appelle la Garganta del Diablo en espagnol ou Garganta do Diabo en portugais (« gorge du Diable »). L’ensemble des cascades déverse jusqu’à six millions de litres d’eau par seconde.

Ces chutes interrompent le cours de la rivière Iguaçu, affluent du Paraná, entre l’État brésilien du Paraná et la province argentine de Misiones. Elles comptent parmi les plus impressionnantes au monde, dans une géographie en favorisant la création. La cascade des Sept Chutes voisine était sans doute aussi phénoménale mais a disparu en 1982 à la suite de la mise en eau du réservoir du barrage d’Itaipu.

 

 

Notre compte rendu:

Il y a des endroits sur notre planète dont tout le monde a forcément entendu parler un jour. On a une vague idée, ou une idée assez précise de l’endroit en question, on l’imagine ou on le fantasme un peu et on se demande à quoi ça peut bien ressembler pour de vrai.

Et puis, certains de ces endroits sont considérés comme mythiques, du moins les reportages ou les publicités les mystifient et les présentent avec des termes racoleurs comme « merveille du monde ». Iguazu est un de ces endroits.

Ainsi, les documentaires de « découverte » dont je suis très friand m’en avaient donné une certaine idée et avaient imprimé des images dans mon esprit. Par ailleurs, il y a environ 10 ans, j’avais eu la chance d’aller voir et de survoler en hélico les chutes de Niagara qui m’avaient laissé un excellent souvenir. Souvenir d’un superbe endroit, au bruit assourdissant où la Nature exprime sa fureur tant les eaux tombaient dans un immense fracas.

Amandine et moi-même nous doutions qu’Iguazu nous plairait. Mais à quel point ? Cela restait à déterminer.

 

 

 

Par souci de facilité, nous avions choisi de nous baser dans la petite ville de Puerto Iguazu, en Argentine. Les chutes d’Iguazu se situent au confins de l’Argentine et marquent la frontière entre elle, le Paraguay et le géant Brésilien. Nous sommes partis de Buenos Aires en bus pour rejoindre notre destination. 19H de trajet. Encore un long voyage. Désormais, on a un peu l’habitude et on n’écarquille plus les yeux lorsqu’on entend de tels chiffres.

Nous sommes donc arrivés en milieu de matinée. Nous avons fait un petit tour dans Puerto Iguazu, qui semblait plus fatiguée que nous vu l’animation qui y régnait. Bref, un endroit des plus tranquilles qui n’a pas aucun intérêt en soi, si ce n’est d’être près des mythiques chutes. Nous avons pris un thé et quelques petites choses à manger dans un café, histoire de prendre un semblant de petit-déjeuner, avons pris les informations nécessaires pour aller sur le site, et nous avons pris un taxi pour nous amener à notre hôtel qui se situe un peu à l’extérieur de la ville. Nous serons dans des bungalows. Aujourd’hui, nous ne ferons pas grand chose, si ce n’est nous préparer pour le lendemain et être un peu tranquille après notre long voyage.

Le lendemain, nous retournons donc à pied vers le terminal de bus de la ville -en fait, notre hôtel n’est pas si loin, et c’est toujours le taxi d’économisé- afin d’aller voir les chutes côté brésilien. Nous avons lu qu’il était recommandé de commencer par ce côté, afin de garder le meilleur pour la fin. Nous embarquons dans le petit bus -la somme demandée pour rejoindre le côté brésilien est des plus modiques- et nous sommes partis. Le passage de la frontière sera des plus faciles : noter bus stoppe au poste frontière argentin, on tamponne notre passeport pour signifier notre sortie du pays, nous remontons quelques minutes plus tard dans le bus, nous arrivons au poste-frontière brésilien, le chauffeur du bus s’arrête, passe nous voir pour nous demander si nous sommes non-citoyens sud-américains (ce qui signifie que nous devons présenter notre passeport), il le prend pour nous ainsi que pour les autres passagers qui sont dans le même cas que nous, puis il descend voir les douaniers pendant que nous restons dans le bus, et, quelques minutes plus tard, il remonte, nous restitue nos passeports puis se remet en route. Quelques minutes plus tard, nous arrivons sur le parking des chutes d’Iguaçu (ainsi nommées au Brésil). Il nous aura fallu entre 30 et 40min depuis Puerto Iguazu.

Sur le chemin se trouve un zoo/parc où l’on peut observer des oiseaux et où le bus s’arrête. A la dernière minute, nous décidons de nous y arrêter. Nous pourrons y admirer des oiseaux qu’on ne connaît qu’en photo : des toucans, des aras et d’autres perroquets de toutes sortes. Absolument magnifiques. La plupart sont de très grandes volières qui leur laisse pas mal de liberté dans leur captivité. Pour le coup, nous avons pu les voir de très près. Nous sommes sortis en nous disant qu’on avait bien fait d’aller voir cet endroit.

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Le plus célèbre toucan

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Un autre toucan, moins connu

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Un magnifique ara

Un peu plus loin se trouve l’entrée du parc d’Iguazu. Nous payons l’entrée du parc, puis, nous embarquons dans un bus du parc qui nous amène vers les chutes. Nous décidons de descendre un peu avant le terminus -il y a plusieurs arrêts qui permettent d’emprunter ensuite des sentiers qui parcourent le parc. Nous nous dirigeons vers le sentier que nous allons descendre et qui va nous amener aux différents points de vue. A peine descendus du bus, nous entendons le bruit, ou plutôt la symphonie des chutes, nous voyons des nuages de brume s’élever au dessus des forêts qui entourent le site et les chutes apparaissent. Plus haut, j’évoquais le questionnement que j’avais entre l’image que j’avais d’Iguazu et l’impression que j’aurai en les voyant. D’emblée, les yeux s’écarquillent, la mâchoire inférieure se décroche et un incroyable émerveillement nous envahit tant le spectacle est extraordinaire et grandiose. Devant nous, de magnifiques chutes d’eau, d’une grâce incroyable se déploient sur tout l’horizon. Ce ne sont pas quelques chutes que nous voyons, mais des dizaines. Des très larges, des plus modestes, des toutes petites, certaines qui tombent directement beaucoup plus bas, d’autres qui sont sur plusieurs niveaux. De curieux animaux, ressemblant vaguement à des ratons laveurs, qui semblent peu farouches se promènent au milieu des visiteurs. Il s’agit de quoatis. Nous apprendrons qu’il faut être extrêmement méfiants de ces animaux car, lorsqu’ils voient des gens manger, ils deviennent comme fous voire même très agressifs. De nombreux panneaux montrant de réelles blessures qu’ils ont infligées à des gens pas assez méfiants sont là pour le rappeler régulièrement. Ces animaux sont effectivement une plaie car il est impossible de s’asseoir avec son sandwich sans qu’ils ne tentent de venir s’en emparer et ils ne se gênent pas de fouiller dans les sacs des visiteurs. Les gardiens du parc mettent des « outils » à disposition pour les faire fuir -même s’ils reviennent au bout de quelques secondes-.

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Devant nous, apparaissent les chutes d’iGuazu, vues du côté brésilien. Le coup de foudre est immédiat…

Nous descendons donc le sentier. La végétation luxuriante, ravie de l’humidité due aux embruns que forment les chutes, bloque souvent la vue, mais les nombreux points de vue permettent néanmoins d’admirer le spectacle grandiose des chutes du fleuve Iguazu. Nous descendons, nous nous rapprochons et l’émerveillement reste total. Et après avoir progressé, nous voyons encore de nouvelles chutes que nous ne pouvions pas voir au début du sentier. Tout en bas des chutes se trouvent des passerelles qui permettent d’aller voir de près le bas des « Gorges du Diable » (Gargantas del Diablo). A de nombreux endroits du parc, on vend des capes imperméables, c’est ici qu’on en comprend l’utilité. Nous nous équipons de nos parkas, je mets mon appareil photo dans un grand sac plastique au bout duquel j’ai ouvert un trou afin de pouvoir l’utiliser tout en essayant de limiter les dégâts, puis, nous y allons. Nous nous retrouvons au milieu du « nuage » d’eau généré par les chutes, nous nous approchons de l’endroit où elles finissent leur course (du moins, des chutes appelées Gargantas del Diablo), nous y restons quelques instants, au milieu du spectacle, de l’humidité et du fracas des eaux qui tombent. Bien évidemment, nous sommes complètement trempés. Les parkas nous ont à peu près protégés, par contre, nos pantalons sont complètement mouillés. Nous prenons ensuite l’ascenseur qui nous ramène plus haut, reprenons le bus pour rentrer à notre « chez nous » du moment. Après un tel spectacle et un tel émerveillement, nous nous demandons si réellement nous pourrons être encore plus abasourdis du côté argentin.

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Au pied des Gargantes del Diablo… mouillée!

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Au pied des Gargantas del Diablo…

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Vu d’en haut (c’est là en bas qu’on était trempés)!

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Le lendemain, Nous partons donc pour découvrir le parc, côté Argentin. Nous prenons un autre bus, et environ 20min plus tard, nous sommes à l’entrée du parc. Le prix est nettement plus élevé, mais bon, voilà…

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Entrée du parc

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Le plan du site

Nous suivons ensuite les indications et nous avons le choix entre le sentier bas et le sentier haut. Nous optons pour le sentier bas. Comme la veille, nous entendons le bruit des chutes (nettement moins étourdissant que celui de Niagara dans mes souvenirs), voyons les « nuages » d’eau que créent les chutent, et les voilà qui apparaissent. Comme hier, voire même plus encore, l’éblouissement est total. Des chutes d’eau partout : à notre gauche, en partie cachées derrière une île, devant nous, un long rideau d’eau qui tombe sur plusieurs niveaux, et encore d’autres à droite qu’on ne voit pas encore très bien de l’endroit où nous nous trouvons. Et, comme la journée est belle, plusieurs arc-en-ciels sont visibles de-ci de-là. Nous poursuivons, nous nous arrêtons pour admirer l’extraordinaire beauté du lieu -j’aime bien prendre mon temps pour « imprimer » les images dans mon esprit et pour m’imprégner du lieu.

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Ypiiie!

Vers la fin du sentier, nous approchons très près d’une chute, là encore, nous mettons nos parkas et allons affronter l’humidité. Nous ressortons tout de même moins humides que la veille, puis nous descendons vers le sentier qui est réellement en bas des chutes.

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Encore mouillée!

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Vue des chutes depuis la partie inférieure

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Et hop!

Ceci fait, nous remontons et partons cette fois vers le sentier supérieur. Différents points de vue se succèdent, certains moins intéressants, d’autres sublimes. On passe parfois juste à côté de chutes plus modestes et assez éloignées des majestueuses que l’on voyait de loin. Il faut dire que le fleuve Iguazu est vraiment extrêmement large. Il se divise ensuite en de nombreux bras, il suit assez paisiblement son lit taillé dans un plateau basaltique qui s’effondre subitement, là où se forment les chutes.

De ce sentier supérieur, on a une vue impressionnante du haut des chutes qui se déversent violemment plusieurs dizaines de mètres plus bas.

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Arrivés vers la fin du sentier, nous arrivons à une des stations du petit train qui permet de relier les différents points d’intérêt du parc. Le prochain train qui amène au-dessus des Gargantes del Diablo ne passe pas avant 20 bonnes minutes, nous décidons de longer la voir ferrée pour rejoindre la prochaine gare (c’est autorisé). C’est vraiment bien car non seulement nous sommes en dehors des périodes de pointe -il y a donc peu de visiteurs-, mais nous arrivons avant le train, nous pouvons donc nous diriger vers les Gargantes del Diablo sans être ennuyés par la foule. Nous empruntons la passerelle, et après environ 15 minutes de marche, nous arrivons à notre but.

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Sur la passerelle vers les Gargantes del Diablo

Le spectacle est là encore incroyable. Si la vue des chutes distille une grande beauté et une grâce de la nature, à cet endroit, ce n’est qui violence. Ici les eaux tombent dans un grand fracas, soulevant des trombes d’eau qui parfois, selon le vent, viennent nous asperger, et tombent plus bas avec rage. C’est si violent qu’avec les nuées d’eau, on ne distingue pas le bas des chutes, l’endroit où nous nous trouvions la veille. En face de nous, les chutes forment un grand rideau d’eau, sur notre gauche et notre droite, on voit de très près l’eau qui arrive assez paisiblement pour se retrouver soudainement entraînée et précipitée vers le bas. Le spectacle est aussi vraiment intimidant et même effrayant. Je n’aimerais pas être là si la passerelle venait à être emportée elle aussi. Au milieu des photos, j’utiliserai mon téléphone pour faire une petite séance vidéo du moment. Devant ce spectacle grandiose, je me disais que si la Nature a créé des Temples à la gloire des quatre éléments de la Vie, le Temple de l’Eau est assurément ici-même.

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Depuis le haut des fabuleuses et très impressionnantes Gargantes del Diablo…

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D’autres vues du haut des Gargantes

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Le Rio Iguazu, vraiment très large! et si paisible… jusque là…

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Sur le chemin du retour, par le petit train

Après ça, il est temps de retourner à notre hôtel. Et, nous nous disons que c’était tellement chouette que ça ne nous paraîtrait pas de trop d’y retourner le lendemain, d’autant plus que pour le deuxième jour, le parc offre 50% de ristourne sur les billets.

Nous voici donc repartis vers le parc. Pour payer l’entrée, nous avons besoin de cash (on ne peut pas payer l’entrée par carte de crédit). Nous avons vu un distributeur à l’entrée du parc, et Amandine introduit donc sa carte pour retirer des sous. Stupeur… le distributeur se met en défaut et ne rend pas la carte. Nous allons chercher de l’aide. Une personne du parc appelle la banque qui gère le distributeur pour demander une intervention. Après plusieurs informations contradictoires, il faut se rendre à l’évidence : nous ne pourrons pas récupérer la carte. Les techniciens sont passés le même matin, et leur prochain passage sera la semaine prochaine.

Amandine prend l’incident avec philosophie, nous avons d’autres cartes pour retirer de l’argent. Si ce n’est que, ici, on ne peut pas retirer vu que le distributeur est HS, et nous n’avons pas assez d’argent pour payer l’entrée du parc. Les personnes du parc à qui j’ai signalé notre mésaventure étaient vraiment des plus sympathiques et des plus compatissantes. Un ranger était là, il a servi d’interprète (mon espagnol était un peu trop basique pour expliquer notre problème), il a discuté avec moi, me demandant d’où nous étions, si j’aime le football (je lui réponds oui afin de lui faire plaisir. Quand il me demande quelle équipe sud-américaine je connais et je soutiens, je lui contourne le piège en lui disant que je m’intéresse aux équipes nationales), puis il me propose de partager du maté avec lui (le fameux maté que les argentins boivent tout au long de la journée).

Amandine me rejoint. Nous sommes toujours aussi bloqués et je tente de lui poser directement la question : y-a-t-il moyen de rentrer dans le parc alors qu’on n’a pas suffisamment. Et le ranger de nous proposer si nous voulons rentrer avec lui. Ha mais carrément. Il nous dit « pas de souci » et tout sourires, il nous fait monter dans un 4×4 de service, nous contournons l’entrée et il nous amène à la première gare. La classe absolue pour nous. Merci à vous. La journée est encore plus belle que la veille. Cette fois, nous partons pour une marche dans la forêt en espérant voir des oiseaux ou d’autres animaux. Nous ne verrons que peu d’animaux, mais la balade assez sympa.

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Quelques vues de notre randonnée

Ensuite, nous retournons évidemment voir les chutes. Peu de monde, la journée est magnifique, les arcs-en-ciel sont nombreux, on a l’impression que le volume d’eau est encore plus élevé et que les chutes sont encore plus belles que la veille et que le spectacle est encore plus éblouissant (si, si!).

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Et devinez quoi ? Nous avons décidé d’y retourner une nouvelle et dernière fois le lendemain. Le distributeur était toujours HS, avec la carte d’Amandine toujours coincée à l’intérieur. Nous avons refait la marche dans la forêt et sommes retournés aux Gargantes del Diablo. Des trois journées que nous avons passés du côté argentin, nous avons pu voir des toucans dans les arbres. A chaque fois, c’était en fin d’après-midi. Le moment le plus propice, semble-t-il. Un magnifique spectacle là aussi, surtout de pouvoir les observer dans leur milieu naturel et en liberté.

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Nous sommes donc allés une fois voir les chutes côté brésilien et trois fois côté argentin. J’ai vraiment trouvé ici l’un des plus beaux spectacles que j’ai pu voir de ma vie. Iguazu, merveille du monde ? Sans nul doute possible.

Et c’est ici que nous quittons définitivement l’Argentine afin d’aller explorer le Brésil. Nous avions évoqué l’idée de faire un tour au Paraguay, mais après quelques recherches, il semble que ce pays n’offre quasiment aucun intérêt. Par conséquent, nous n’avons pas pris la peine de lui rendre visite.

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Une réflexion sur “Iguazu : merveille de la Nature

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